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Deuxième semaine de paralysie des activités à Carrefour

  • etrof16
  • il y a 5 minutes
  • 1 min de lecture

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La commune de Carrefour, occupée par des bandits armés, entame une deuxième semaine de paralysie de ses activités. En effet, depuis le lundi 17 novembre, les écoles sont restées portes closes.


Les autobus assurant le trajet Carrefour/Centre-Ville sont toujours immobilisés, sur ordre des bandits. Seules les camionnettes sont autorisées à prendre la route mais il faudra utiliser les services de 3 ces véhicules de transport en commune de Carrefour à Première avenue. A partir de là, le reste du trajet se fait à pied, ont constaté les usagers de la route.


Des riverains se plaignent de l’attitude des bandits qui, soulignent-ils, dirigent la commune d’une main de fer. Ils sont davantage remontés contre les autorités qui les laissent agir comme bon leur semble.


Aucune tentative de reprendre le contrôle de Carrefour n’a été prise par les forces de l’ordre alors que toutes les institutions étatiques fonctionnent au niveau de la commune, se désolent les citoyens qui affirment se sentir abandonnés par les autorités.


La DGI et l’OAVCT font partie des institutions étatiques de perception de taxes qui fonctionnent à Carrefour. Avant la grève imposée par les bandits, les écoles fonctionnaient normalement. Les gangsters ont leurs propres lieux de détention pour sanctionner ceux qui, selon leurs lois, ont mal agi.


Des cas de viols et de rançonnement sont rapportés et les citoyens ont peur de s’exprimer ouvertement. Il est temps, disent-ils, que l’autorité de l’Etat soit rétablie à carrefour. On parle d’élections mais comment les réaliser dans une commune entièrement contrôlée par des bandits, se demande plus d’un.


DO/HPN

 
 
 

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